vendredi 3 septembre 2010

Rentrée et classement

Après ce repos estival (et finalement l'intermède avec les films de Diana Ross), c'est reparti pour une longue année de chroniques sur les films afro-américains ou traitant des Noirs d'Amérique, quelques billets d'actu (souvent des coups de gueule irrépressibles), de coups de cœur littéraires ou de découvertes sur la toile...
Après quelques liens et vidéos que j'ai pu apprécier cet été, je consacrerai les prochains billets aux premiers films avec un casting "all colored". Il ne sera pas question des "race movies", ces petites et grandes productions indépendantes des années 20 et 30 (on peut lire à ce sujet l'article de Régis Dubois sur son blog Le sens des images : Les "Race Movies" redécouverts) ; j'évoquerai plutôt les grands succès hollywoodiens utilisant des actrices et acteurs presqu'exclusivement afro- américains et faisant la part belle aux stars du jazz, de la danse et du chant.

Je profite de ce billet pour dire quelques mots de la classification ci-contre : elle va évoluer dans l'année parce que son découpage mérite plus de précisions...
D'abord, pour ce qui est des actrices et acteurs, je vais réorganiser tout ça en trois catégories : les légendes noires (postérieures aux années 50), les héros de la blax (et globalement des années 60/70) et les "nouveaux" acteurs afro-américains.
En gras, ce sont celles et ceux qui ont tenu à un moment donné une tête d'affiche (dans un film ou une série) ou qui sont trop récurrents pour être oublié -bref, vous comprendrez que ce soit donc forcément subjectif.
Pour les guests "non-Noirs", ils sont tous regroupés au sein de la même catégories quelques soient leurs dates d'apparitions, de même que les réalisateurs, producteurs, compositeurs ou superviseurs musicaux, personnels techniques... Pour ces derniers, la plupart ont travaillé (ou débuté) pendant la vague soul ; peu nombreux, on remarque assez facilement leur récurrence selon les productions -en particulier l'AIP- mais se glissent aussi des équipes plus récentes et des directeurs de casting ou autres costumiers dont le travail et la fidélité méritent d'être soulevé. Là encore, vous excuserez donc une certaine part de subjectivité mais aussi des oublis.

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